Tricot urbain
Oeuvre participative : « Liberté »
Encadré par l’artiste Stephan Goldrajch et l’équipe du Centre Culturel, chaque habitant de Libramont pourra s’investir selon ses envies dans un projet spécialement conçue pour Libramont !
Quelques exemples de réalisations de Stephan Goldjrach ((c) Myriam Rispens)
UNE ŒUVRE UNIQUE CONCUE POUR LIBRAMONT-CHEVIGNY
Pour cette œuvre libramontoise, Stephan Goldrajch souhaite s’inspirer de la personne de Ruth Bader Ginsburg (1933-2020), véritable symbole de courage et de liberté. Américaine à la carrière exemplaire (juge à la Cour suprême), elle est encore relativement peu connue en Europe mais le message qu’elle communique et les valeurs fortes qu’elle véhicule sont d’actualité.
Aux origines de Libramont, nous découvrons un personnage parallèle, la Comtesse Ermesinde (1186- 1247), elle-même symbole d’unification et de contestation.
Inspiré par ces deux personnalités, Stephan invite les habitants, jeunes, moins jeunes, à apporter leur « maille » à l’édifice.
En effet, nous construirons ensemble une sculpture collective à partir de morceaux textiles, pour réaffirmer notre attachement au territoire. Nous tricoterons, crochèterons différentes pièces textiles selon les indications de l’artiste.
Pas besoin d’être couturière ou couturier pro, des encadrements seront prévus et même des tutos pour les plus jeunes !
Plus on sera nombreux et plus cette œuvre sera un symbole fort Libramont-Chevigny !
Le projet débutera en septembre 2022 par une rencontre avec avec l’artiste Stephan Goldrajch.
Chaque participant aura la possibilité de travailler chez lui, mais des séances collectives seront organisées au fil des mois.
Les inscriptions sont ouvertes durant toute la durée du projet.
La participation est gratuite.
Le matériel nécessaire sera fourni.
Et les enfants sont les bienvenus !
Je clique ici pour participer !
Stephan Goldrajch vit et travaille à Bruxelles. Il a étudié à l’ENSAV La Cambre et à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles. Son travail est exposé internationalement. L’artiste travaille le textile, médium à travers lequel il se réapproprie de manière contemporaine d’anciennes techniques artisanales telles que la broderie, la couture et le crochet. L’utilisation de tels supports est surtout pour lui un prétexte pour rencontrer des gens et tisser des relations. La manière dont il aménage l’espace conduit à un dialogue avec le public.
Pour BXL UNIVERSEL II : multipli.city, l’artiste construit un arbre (l’arbre à palabre) recouvert de tissus tricotés et crochetés réalisés par de nombreuses personnes, tant individuellement que par le biais du monde associatif bruxellois.